L’ex­­­­­­­­­trême droite et l’éco­­­­­­­­­lo­­­­­­­­­gie ne font a priori pas bon ménage. Pour­­­­­­­­­tant, les partis d’ex­­­­­­­­­trême droite se drapent de plus en plus d’un voile écolo­­­­­­­­­gique, mais celui-ci cache des relents iden­­­­­­­­­ti­­­­­­­­­taires et racistes. On assiste égale­­­­­­­­­ment à la renais­­­­­­­­­sance de grou­­­­­­­­­pus­­­­­­­­­cules écofas­­­­­­­­­cistes et survi­­­­­­­­­va­­­­­­­­­listes. Faut-il craindre leur déve­­­­­­­­­lop­­­­­­­­­pe­­­­­­­­­ment, voire une conta­­­­­­­­­mi­­­­­­­­­na­­­­­­­­­tion de l’éco­­­­­­­­­lo­­­­­­­­­gie poli­­­­­­­­­tique, socio­­­­­­­­­lo­­­­­­­­­gique­­­­­­­­­ment de gauche ? La ques­­­­­­­­­tion mérite d’être prise au sérieux.

Monique Van Dieren, Contrastes Janvier 2025, p 16 à 19