Equipons-Nous ! Déc. 2017
SECUWARS … Ou comment survivre dans un monde sans sécurité sociale ?
Faut-il se préparer à combattre, non pas pour améliorer notre sécurité sociale, mais pour empêcher sa disparition pure et simple !
Un jeu, une journée de lancement de campagne commune CIEP/MOC-EP dans un auditorium de la Haute Ecole CARDIJN à Louvain-la-Neuve, un numéro de Contrastes magnifiquement pédagogique … Que demander de plus ?
Nous sommes choyés et j’ai envie de dire que nos responsables ont mis les petits plats dans les grands avec une matinée de conférences-débats terriblement « engageante ». A tel point qu’il était près de 13 heures avant une pause-repas et que le temps a paru court …
Après l’exposé de Bernard Friot (anthropologue, sociologue, économiste), venu de Paris, qui nous a longuement parlé du « salaire à vie » et les remarques et questionnements de Pascale Vielle (professeure à l’UCL), nous sommes amenés à une réflexion en profondeur et sans doute à une remise en question quant à nos certitudes nées suite à ce basculement historique récent !
Trente années de victoires syndicales, puis une transition de quelques années durant laquelle les Equipes Populaires avaient déjà des inquiétudes et des pistes de réflexion. Ensuite, trente années de défaites en défaites, de détricotage vers un possible dynamitage de nos « acquis sociaux ».
Beaucoup de débats en perspective, mais une certitude : notre mouvement a un rôle majeur à jouer, car au-delà des combats, il faut sans cesse éduquer, éveiller les masses populaires sinon le capitalisme se chargera de les déconnecter à tout jamais de la réalité sociale !
J’invite ceux et celles qui peuvent avoir accès à Internet à visiter le site www.secuwars.be
Bernard
Wanfercée-Baulet : Réunion du 14 novembre : objet connecté vulnérable (piratage). Comment protéger la société, alerte pour l’emploi ? Et demain, quel syndicat ? Devant : numérisation, digitalisation, robotisation, automatisation. A la demande des équipiers, on continue le débat (Contrastes « Faut-il craindre l’intelligence artificielle ? »)
Jumet : L’équipe a visionné la vidéo « Ceci n’est pas un trou »,vidéo qui fait partie d’une campagne du CEPAG qui milite pour la sauvegarde de notre sécurité sociale. Cela tombe bien puisque notre mouvement lui aussi lance justement la campagne « Sécuwars » (voir édito). Et qu’entretemps la mutualité socialiste fait également campagne sur le même sujet : www.prenonssoindenous.be
Braijocepoc : Les membres des groupes « Braijocepoc » poursuivent leur travail d’écriture et de création de jeu avec leur enthousiasme habituel; des projets passionnants mais qui prennent du temps à aboutir.
Beaumont : En novembre, les Equipiers de Beaumont se sont questionnés sur la vision du sexisme dans notre société ainsi que sur le racisme et l’islamophobie ambiante ces dernières années.
Solidaroctiau : Le groupe est intéressé par le crowdfunding mais énormément de plateformes le proposent et ce n’est pas simple de s’y retrouver. Nous avons donc décidé d’organiser une soirée d’information sur le sujet avec un intervenant (Piotr Paluch) qui fait partie du réseau « Crowdfunding International ». La soirée se déroulera le mercredi 13 décembre au café-restaurant Notre Maison à 18h30. Venez nous rejoindre ! C’est peut être une nouvelle forme de financement alternatif pour tous !!(invitation page 11)
Momignies : Après une réunion en octobre sur Bernard Friot et le salaire à vie, le groupe a parlé des aides et soins à domicile. Un constat, si on cumule toutes aides à domicile, le coût dépasse celui de la maison de repos. Serait-ce encore dû à notre chère Maggy?
Gozée : Comment jardiner sans pesticides? Nous avons lu ensemble une brochure de l’ICDI « Moins de pesticides, moins de déchets spéciaux et moins de pollution… ». Certaines informations sont déjà connues des militants d’autres pas…s’ensuit un échange de recettes traditionnelles…
Leernes : A l’Equipe de Leernes le mois dernier, on parlait de sexisme au départ d’une courte vidéo assez originale. S’en sont suivies de longues discussions sur le sujet où différentes visions se sont confrontées.
Décembre …
Un mois attendu avec impatience : le temps de la fête et des cadeaux. Les fêtes patronales pour les enfants sages … Bonbons, jouets, des sourires, des pleurs …
Hier, comme aujourd’hui, des bambins ne recevront rien par manque de moyens. D’autres par contre, blasés parce qu’ils ont reçu en cours d’année, regarderont le jouet comme ringard. Le commerce et l’argent ont pris le dessus sur le merveilleux : cadeaux revendus le lendemain. Cela a-t-il encore un sens ? En octobre, Saint Nicolas dans les catalogues et déjà les jouets en magasin. En novembre, c’est Noël, etc.
Sur TF1, n’est-on déjà pas à Noël depuis le 3 novembre dans les films l’après-midi ? Y a-t-il encore aujourd’hui comme hier des fêtes patronales ? Un moment qui était attendu par des milliers de travailleurs. On était entre collègues, entre amis, entre camarades, on refaisait le monde avec les chefs qui portaient casquettes et chapeaux.
Maintenant, on va au resto ou on ne fait plus rien. Les plus jeunes trouvent-ils encore cela nécessaire ? Où est passée la solidarité dans le monde du boulot ? Saint Eloi était le symbole d’une région, c’était sacré, comme on a pu le lire dans le bouquin sur la sidérurgie (écrit par la Régionale).
Et Noël dans tout cela ? Ce sont les congés d’hiver … Où sont encore la magie, la tradition, le respect des convictions, le merveilleux pour de nombreuses personnes dans différents pays : un moment d’union entre les peuples ?
Au-delà de la fête, c’est le moment des bilans comptables, cela sera l’évaluation de tout ce que nous avons perdu en social et en solidarité. Le mois aussi où l’on nous présentera les perspectives d’avenir, les adaptations budgétaires au détriment des populations.
Un triste constat s’impose depuis plusieurs années : le mot « fête » est galvaudé, remplacé tantôt par les mots « vaut mieux de l’argent et des vacances ». Le commerce règne en maître. Un cours de citoyenneté ne serait-il pas nécessaire à tous ces faiseurs de rêve ?
Malgré tout, passez de bons moments en famille, avec nos jeunes en examens, avec ceux qui ont 22 ans et qui doivent consulter leur smartphone chaque jour pour savoir si les cours sont prêts, les heures de cours, les jours, etc. C’est la vie d’aujourd’hui.
Bon mois de décembre en toute amitié,
Georges
Indépendance …
Indépendance de la Catalogne, de la Flandre, du Pays Basque, de l’Ecosse, etc. Un vent souffle mais pour quelles raisons, quelles réalités ? Pour quoi et pour qui ? N’est-on pas bien dans la mère patrie ? Ce sont des questions qui ont certainement traversé vos esprits …
Ces régions sont-elles si riches qu’elles peuvent se suffire à elles-mêmes ? Sont-elles si puissantes qu’elles peuvent s’autoproclamer elles-mêmes après élection indépendante, avec quelle majorité ? Entre un vote et les réalités du terrain, n’y a-t-il pas une marge d’erreurs ?
Et si un jour, on prenait les vraies réalités de l’histoire pour éclairer le présent, les situations vécues aujourd’hui, les situations vécues dans le passé, n’éviterait-on pas les mésententes et les bavures actuelles ?
Démocratie, violence, crise du collectif au profit de l’individuel. N’est-ce pas la voie royale pour conduire les peuples dans les querelles, voire les conflits ? Et en bout de course, les armes.
Pourquoi Monsieur Puidgemont est-il venu en Belgique ? Il y a des amis mais aussi l’Europe. Notre pays n’est-il déjà pas dans la tourmente avec les régionalisations ? Ne sommes-nous pas déjà montrés du doigt : immigration, terrorisme, impuissance de la justice et un gouvernement qui détricote la solidarité avec de bonnes paroles (on ne sait plus payer la misère, le social) ? Prenons les bonnes mesures, renforçons les puissants. De cette façon, nous aurons la paix ! Mais laquelle ? Le silence des populations ?
L’autre jour, après les dernières élections gouvernementales, un équipier disait : « la NVA au pouvoir avec les libéraux et le chemin est ouvert vers l’indépendance de la Flandre », et il ajoutait « croyez-vous que l’Europe, les banques, les entreprises, le milieu des affaires vont accepter cela sans broncher ? »
Que se passe-t-il en Catalogne aujourd’hui ? Et chez nous, avec l’interview du dirigeant catalan à la RTBF. Que fera le gouvernement ? Qui a le pouvoir chez nous aujourd’hui ? Le chapeau catalan affublé du Lion des Flandres, une répétition peut-être ?
N’oublions quand même pas qu’il y a un mois, les barcelonais protestaient. Il y a trop de tourisme chez eux. Je ne connais pas la situation du peuple catalan ; ce ne sont que des réflexions devant l’actualité du jour. Où est la réalité ? L’avenir nous le dira peut-être. Mais faut-il démolir une démocratie peut-être imparfaite pour la remplacer par une autre pleine d’incertitudes ?
Hormis le pouvoir et l’argent, est-ce cela qui se passe aujourd’hui ?
Georges
Que du bonheur …
C’est facile à dire mais le constat est là. Des exemples : en partant du film des nouveaux « Chiens de garde », c’est le rôle de la presse dans la société. Des articles sur la presse regroupés et aujourd’hui, le 8 novembre, c’est sur la table avec Vers l’Avenir et RTL.
Il est temps de renforcer le rôle d’analyse des journalistes et des rédactions. Cela a été dit ce jour. Quel rôle doit jouer le journalisme d’opinion ? Où est encore l’analyse de la société ? Et les nouvelles technologies ? Que rôle devons-nous exiger d’elles ? Peut-on s’en passer ? Quel rôle devons-nous exiger du consommateur ? N’est-il pas piégé ? Obligé d’adhérer au système ? Aujourd’hui, ne met-on pas les dérives en lumière ? Je suis mort depuis trois ans et la famille reçoit toujours des messages « bon anniversaire ! » Des piratages informatiques à distance, etc.
J’arrête car on va dire « il est hostile ». Mais prenons le Contrastes de juillet-août 2017 : « Digitalisation, robotisation, faut-il craindre l’intelligence artificielle ? ». Les branchés diront non. Mais entrons en réflexion : « Un mouchard dans le placard ». Où est la protection du consommateur et de l’usager ? Tous connectés. Où est la faculté de l’être humain de réagir ? Que met-on en place pour combler les dérives ? D’où un autre article dans Contrastes, « Des objets connectés vulnérables ». Enfin, cela bouge-t-il ?
Oui mais comme dirait mon ami : « chaque fois que les entreprises se sont modernisées, il y a pertes d’emplois ». « Oui mais », disait l’autre ami Jules, « de nouveaux besoins, de nouveaux métiers viennent sur le marché ». Alors que faire ? Qui va apporter le revenu ? Le travail rémunère-t-il le travailleur ? Et le rôle du capital ? Et le rôle futur du syndicat et comment redistribuer la richesse ? Cela ouvre d’autres débats que la perte de revenus liée à la robotisation.
Continuons notre chemin, notre lecture de ce Contrastes interpellant. Quatre grandes questions. Peut-on refuser la robotisation ? Comment répartir la richesse ? Comment se former à d’autres tâches et par qui ? Faut-il former uniquement pour les métiers en pénurie ? Aujourd’hui peut-être, et demain ? La question n’était-elle pas présente hier aussi ? Il fallait des ouvriers, bobineurs, tourneurs, aléseurs, soudeurs, etc. Et où était la formation et l’ouverture ? La question brûlante devant la numérisation, la digitalisation, la robotisation, l’automatisation.
Quel avenir pour le monde du travail et pour la planète, pour les mordus et tous les autres ? Quelles libertés et quelle protection de la vie privée des sociétés et du monde du travail ? Quelle aventure humaine tout cela : c’est un début et tout doucement, on voit apparaître des dérives. Faut-il se résigner ou aller de l’avant ?
Ce Contrastes est interpellant. Lisez-le en équipe et vous serez surpris de la richesse des équipiers. Cela en vaut la peine. Une citation du sociologue Raphaël Liogier dit « l’homme ne pourra pas être remplacé par les robots pour toute une série de tâches, mais celles-ci seront plus spécifiques. Cela va libérer du temps humain de tout ce qui est travail obligatoire et récompenser l’activité humaine vers ce qui est réellement créatif, arbitraire, qu’un ordinateur n’aurait pas l’idée de faire. »
Passer du travail qui au sens étymologique de tripalium (ou torture) au faler qui est le rêve de l’humanité : faire quelque chose qu’on n’est pas obligé de faire. C’est le rêve de la citoyenneté. Une société qui avance peut, pour la première fois, permettre que le faire ne soit pas l’apanage d’une élite de privilégiés mais qui se généralise. (Contrastes juillet-août). De belles paroles. Encore faudra-t-il que le capitalisme et l’économie le tolèrent : c’est un autre débat. De beaux articles qui peuvent nous aider dans nos groupes locaux.
Qu’il est heureux de se projeter dans l’avenir avec la réflexion de chacun. Voyez quel cheminement depuis notre enquête. Heureux sommes-nous parce que l’éducation permanente ne nous enferme pas !
Amitiés,
Georges
Il serait intéressant de se réapproprier les chiffres sur l’évolution de quelques sociétés (+-700) : évolution emploi, du revenu par travailleur, du revenu pour la société qui les emploie et l’évolution du type de contrat « 2040, tous à mi-temps ? »
Présentation de notre stagiaire …
Bonjour à tous !
Je m’appelle Lama Cathy, j’ai 24 ans, je suis née le 15 octobre 1998 à Kinshasa. Je suis issue d’une grande famille de 8 enfants et je fais partie des aînés de ma famille. Mais le mieux est que je suis la maman d’une adorable petite fille depuis maintenant trois ans, ma petite Laila.
Je suis actuellement étudiante en 2ème année d’assistant social à la Helha à Montignies-sur-Sambre.
Si j’ai choisi de faire mon stage aux Equipes Populaires, c’est tout d’abord parce que j’aime découvrir et expérimenter des activités diverses, mais aussi parce que je suis une militante dans l’âme et je rêve aussi d’un monde « meilleur » pour les années à venir.
Cathy
Recette: Cassolettes d’œufs à la Brabançonne
Pour 2 personnes.
Préparation : 15mn
Cuisson : 8 à 10 mn.
Ingrédients
25 cl de bière blonde-4 œufs-150 g de lardons fumés-2 gros chicons-2 gros oignons-4 c à s de crème épaisse(allégée)-huile d’olive.
Préparation
Emincez les oignons et chicons. Faites revenir les lardons (si possible sans huile).Versez-les dans deux cassolettes pouvant aller sur le feu ou dans une grande poële. Ajoutez le mélange oignons-chicons et faite revenir le tout 5 mm à bon feu en mélangeant. Versez la bière, faites réduire de 2/3 à bon feu, puis ajouter la crème. Laissez mijoter 2 mn, rectifiez l’assaisonnement et creusez des nids. Cassez les œufs un par un dans une tasse et versez-les au fur et à mesure dans les creux. Couvrez et laissez prendre 8 à 10 mn sur feu très doux, jusqu’à ce que les blancs soient coagulés.
Servez aussitôt avec du pain.
Cette recette vient du magazine Télémoustique… je l’ai déjà préparée plusieurs fois, elle est très bonne et est bon marché !
Isabelle
Noël …
Fête de famille, d’espérance, de paix et de joie de par le monde. Est-ce cela qui attend des millions de personnes sur cette terre ?
Je voudrais retrouver mon âme d’enfant, les veillées au coin du feu en attendant minuit, l’heure du recueillement pour les chrétiens et une espérance … Paix sur cette terre.
Je voudrais retrouver le mot fête en famille, loin des smartphones, qui ne remplaceront jamais câlins et bisous.
Je voudrais que la vie privée soit un peu plus respectée qu’aujourd’hui, même les cadeaux nous espionnent à notre insu.
Je voudrais retrouver tout au long de l’année du temps pour moi et ma famille, de ce moment pour vivre, réfléchir, pour redevenir un humain loin de mon travail qui empiète de plus en plus sur ma vie privée.
Je voudrais redevenir un être vivant libre, réfléchis, actif, créatif et solidaire.
Je voudrais à l’image des anciens venus au Congrès des EP, revivre le sens du débat pour créer un mouvement qui se projette dans l’avenir, qui apporte la liberté de penser, de la convivialité, de la bonne humeur, du savoir et un sens des responsabilités pour tous.
Je voudrais qu’en ce temps de Noël, les puissants ne bloquent plus les frontières par peur de l’autre. Les armes, monnaie d’échange pour recevoir de la nourriture et éviter les famines. Que pourrait-on faire de tout cet argent dépensé pour l’armement ? Je voudrais aussi que les mouvements sociaux aillent à l’essentiel : formation, éducation, éveil aux réalités de la vie d’aujourd’hui.
Restons éveillés aux souffrances, aux dérives, ayons la capacité de faire la fête, de s’arrêter pour contempler le scintillement des étoiles, la magie de la rencontre, la magie de Noël où le plus petit sera reconnu, où les têtes se relèveront devant l’accueil, le respect et l’ouverture.
Que ce jour merveilleux le soit pour tous, pour nos familles, nos amis et nos enfants. Ensemble, on est plus fort.
Joyeux Noël,
Georges
Notre nouveau Bureau communautaire …
C’est lors du Congrès que les militants ont donné leur assentiment pour constituer notre Bureau communautaire (Buco) et ce, pour un mandat de trois années.
Un nouveau Président, Paul Blanjean, que beaucoup d’entre nous connaissaient déjà. Paul a une expérience intéressante au sein du mouvement ouvrier. Je retiens une belle phrase dans sa présentation : « j’ai toujours voulu aussi sortir des cadres, en essayant de rassembler et globaliser plutôt qu’en divisant les publics ». Il nous dit aussi : « dans un monde qui bouge, il faut pouvoir changer. Non pour se conformer aux nouvelles modes du système dominant mais pour être en capacité de répondre collectivement aux nouvelles formes d’inégalités et d’exploitation ». J’aime beaucoup cette réflexion !
Tout le monde connaît et apprécie bien sûr notre Secrétaire général, Jean-Michel Charlier, dont les capacités énormes de travail sont reconnues.
Enfin, la représentante des permanents, Françoise Caudron, est aussi une personnalité bien appréciée de toutes et tous.
Les sept représentants des militants : deux femmes, cinq hommes … trois nouveaux et quatre anciens !
Elisabeth Beague, du Brabant wallon, qui se réjouit d’être dans un groupe qui se mobilise sur un sujet auquel elle adhère … qui manifeste beaucoup d’optimisme et qui a peur que notre société devienne un « désert surpeuplé » !
Patrice Hofmans, du Luxembourg, qui aimerait devenir un passeur de main vers les générations des plus jeunes, qui voudrait porter un message d’espoir et construire un monde « juste » au service des gens.
Philippe Denoël, de Liège-Huy-Waremme, qui nous dit que le Buco est un endroit où l’on ressent notre mouvement au plus près … Il envisage de participer à la construction de l’égalité qu’il estime une tâche difficile, complexe, voire impossible ! Mais il y croit !
Eric Mercier, du Hainaut Centre, qui continue à s’engager pour poursuivre la construction de notre mouvement, qui est en perpétuelle transformation. Il a à cœur de veiller au respect des orientations et des valeurs que nous portons. Une des personnalités précieuses des Equipes.
Edmond Thibaut-Buffart, de Namur, qui s’engage à veiller à l’équilibre à trouver pour les travailleurs du mouvement, entre les exigences du métier et la recherche d’épanouissement personnel … Il défend aussi la nécessaire priorité à garder à l’humain, à la recherche du bien commun … Un ardent défenseur de l’éducation permanente.
Enfin, celui que vous connaissez en tant que Président de la régionale de Charleroi-Thuin, Bernard Buset, qui souhaite s’intégrer par une participation attentive pour lui permettre de servir au mieux les enjeux d’un défi pour porter l’éducation permanente toujours au plus près du milieu populaire.
Nous ne représentons pas les intérêts régionalistes, mais ensemble, nous portons au mieux toutes nos régionales et veillons à garder un objectif de saine gestion du mouvement.
Souhaitons bon travail à ce nouveau « Buco ».
Bernard
SAMEDI 9 DECEMBRE à 13h30 : Journée jeux « Secuwars » à Charleroi (Notre Maison)
MARDI 12 DECEMBRE à 19h00 : Groupe local de Wanfercée-Baulet
MERCREDI 13 DECEMBRE à 14h00 : Groupe local de Jumet et à 18h30 : Soirée d’infos « Crowdfunding » à Charleroi (Notre Maison)
MARDI 19 DECEMBRE à 14h : Groupe local de Momignies
MERCREDI 20 DECEMBRE à 15h00 : Groupe local de Gozée (chez Francine)
LUNDI 8 JANVIER 2018 à 19h30 : Groupe local de Leernes
MERCREDI 10 JANVIER 2018 à 14h : Groupe local de Jumet