Equipons-Nous ! Avril 2018
Pâques, message universel…
Croyants, incroyants, indécis … peu importe notre conviction, Pâques, à l’instar d’autres fêtes, s’enfonce dans les boues d’un consumérisme dévastateur …
Médias, publicités toutes boites, panneaux le long des routes … les messages vont tous dans le même sens : consommez toujours plus, c’est le prix à payer pour être « heureux ».
Sans verser dans un excès de « religiosité », que reste-t-il d’un message qui, me semble-t-il, reste universel : la symbolique de Pâques c’est le triomphe de la vie, la victoire de la lumière sur les ténèbres.
Alors que l’ensemble des sociologues, des anthropologues, des philosophes et autres scientifiques lancent un avertissement solennel pour nous signifier clairement que l’on doit se remettre en question quant à nos envies de « toujours plus », le monde commercial, sous la houlette des capitalistes, délivre encore et toujours ces mêmes slogans.
Dans une société où se développent des peurs qui s’installent en chacun de nous, que ce soit sur le plan social, le plan sécuritaire ou autres, on voudrait nous faire croire qu’il faut se protéger à tout prix, vite tirer profit de quelques progrès illusoires, vite planquer ses avoirs dans un paradis fiscal. On nous force à devenir de plus en plus addictifs à toute forme de consommation de masse !
Bref, un fameux cocktail pour nous faire croire que même l’existence peut se transformer en matière à financer …
Un auteur de littérature française, du 19ème siècle, dont j’oublie le nom a publié un essai qui s’intitule « La peur de vivre ». Voilà un titre assez révélateur sur l’état de notre société.
Nous ne nous en sortirons certes pas si nous continuons à faire « notre petit bonhomme » de chemin, comme si rien ne pourrait arriver … mais je ne pense pas que les peurs soient de bon conseil. Par contre, si nous attendons que les autres changent de comportement, je suis convaincu que rien ne changera et l’individualisme triomphera !
Nous manquons cruellement d’un regard tourné vers la spiritualité, sans aller dans un excès qui serait nocif; il faut rééquilibrer notre manière de penser et inverser la courbe matérialiste ! J’ai fait partie de celles et ceux qui en ont eu un peu assez des discours religieux infantilisants … mais je m’inscris contre ce courant de pensée rationnelle qui nous entraîne vers la reconnaissance de divinités matérialistes. A tout prendre, je préfère croire en un Dieu (peut-être inexistant) qu’en un Dieu Argent qui lui, au contraire, dit bien ce qu’il est. Les cloches que les pièces de monnaie qui font du bruit en tombant …
Chers militants et militantes, je souhaite que le message pascal vous convie à une profonde réflexion et que la vie triomphera de la mort !
Bernard
Echo des groupes…
Wanfercée-Baulet : C’est quoi un indice de bien-être ? Où se situent nos communes, lieux de vie selon 19 critères. Comprendre les tableaux, quelles leçons en tirer ? Graziella, animatrice au Ciep nous fera traverser le rubicond. Prochaine réunion le 10 avril « Histoires Digitales » (découverte)
Jumet : Le groupe accepte de répondre à l’enquête dans le cadre du projet Charleroi, ville amie des aînés (VADA), cela se fera le 2 mai prochain. La réunion du mois d’avril y sera déjà consacrée. Un projet de GAC (groupe d’achat collectif) est proposé à Jumet par l’association « La Ruche qui dit oui », nous envisageons d’inviter une représentante de ce groupe.
Beaumont : l’Equipe Populaire de Beaumont s’est attaquée ce mois-ci à un gros morceau avec la première moitié de la vidéo Horizon Gull – « Et il aura la femme » qui traite pêle-mêle de sexisme, d’économie, de manipulation directe ou inconsciente, de l’ampleur des dégâts causés par la publicité dans notre société et de bien d’autres choses encore. De quoi sérieusement s’occuper l’esprit !
Braijocepoc : Après une assez longue interruption due au départ de l’animatrice en charge du projet, le groupe d’écriture de conte progressiste avec Vie Féminine va enfin reprendre du service dès le mois prochain ! Une bien heureuse nouvelle qui nous redonne du cœur au ventre. Les autres groupes Braijocepoc poursuivent vaillamment leur travail et une journée autour des jeux de société est même prévue pour le 19 mai prochain.
Solidaroctiau : Le groupe a décidé de participer à l’opération « Wallonie, plus propre » qui avait lieu le week-end du 23, 24 et 25 mars. Le rendez-vous a été fixé le dimanche 25 après-midi… Quel bilan ? 13 sacs blancs et 7 sacs bleus !! De plus le temps était beau …Bravo à tous ! Les rencontres des seniors continuent chez Rosi, atelier « fil » tous les lundi après-midi…Le groupe va également participer à la semaine de la mobilité en fermant la rue le dimanche 16 septembre; cela permettra d’investir la rue et de rencontrer les riverains, de faire une fête des voisins!!
Gozée : Découverte des plantes sauvages comestibles grâce à un document réalisé par Jenny. Très intéressant mais le groupe aimerait les découvrir dans la nature. On espère inviter Jenny en juin pour faire cette balade avec nous. D’ici là, les membres du groupe vont aller en repérage à Gozée et aux alentours…
Elections communales…
En octobre, nous irons voter pour notre « maison à tous »…
Un peu d’histoire : Bruges, Gand, Liège, Tournai existaient avant l’Etat.
Dès le début, la constitution reconnaît les communes et en même temps les provinces. En quelque sorte, elle célèbre la commune venue du Moyen-Age, elle est inscrite en pouvoir.
1836 : 1ère version de la loi communale et depuis 1988, nouvelle loi communale. Sa mission : investissements d’ordre public, état civil, propreté et gestion des routes, la petite enfance, l’école et l’environnement.
2002 : un tournant. La loi spéciale du 13 juillet 2001. Diverses compétences sont transférées aux régions et communautés.
Nous devons savoir que c’est une loi régionale, un décret en Wallonie et en Flandre. Une ordonnance à Bruxelles. Cette loi règle la composition, l’organisation, les compétences et le fonctionnement des institutions communales.
En Wallonie, on parle de Collège communal. En Flandre, on parle de Collège des bourgmestres et échevins.
En Wallonie, le bourgmestre est celui qui remporte le plus de voix dans une majorité.
En Flandre, le gouvernement régional choisi la personnalité qui lui est présentée par la majorité. La 6e réforme de l’Etat entend régler la problématique bruxelloise.
Les ressources : l’impôt : centime additionnel à l’impôt des personnes physiques 38,5%, centime additionnel sur le précompte immobilier 38,5%, les 23 restant (fête, occupation espace public …)
Autres ressources : impôt 50%, fond des communes 20% ; subsides 20%, ressources propres 10%. Sa mission : infrastructures, protection et environnement, développement économique, politique, emploi, ordre public, propreté, salubrité publique, état civil, gestion et mobilité, cadre de vie, aménagement du territoire, bien-être, CPAS. Les dés sont jetés.
Des enquêtes citoyennes existent pour Charleroi, elles nous demandent notre avis, des choix multiples concernant : la sécurité, la propreté, espaces verts, voiries et mobilité, rénovation espaces publics, logements, enseignement, égalité des chances, culture, sport, accueil du citoyen, participation citoyenne, jeunesse, santé, action sociale.
Pour Charleroi : personnellement, celles-ci nous permettent de nous interroger sur ce qu’est la propreté par exemple, et ainsi de suite. A mon avis, cela est un bon exercice pour ne pas plonger dans les extrêmes « tous pourris ». Sur Fleurus, cela ressemble à recueillir des félicitations. Peut-on être fier ? Quelles améliorations pour Fleurus, améliorer le village. Que voulons-nous ?
Il y a du boulot : peut-être en utilisant un outil (moyen d’animation). On pourrait classer nos priorités dans les missions réservées aux communes, dans ce que nous mettons derrière les mots : faire cet exercice en équipe est très constructif.
Un exemple pour l’équipe de Baulet : nous plaçons en 1ère ligne l’éducation, l’emploi, la santé, le logement, la sécurité et la mobilité, ensuite l’engagement civique, l’environnement, l’équilibre social, l’épanouissement social, la gouvernance, l’équilibre économique, la justice, l’utilisation du temps, la spiritualité, l’équilibre personnel, le bien-être, l’égalité des chances. Ce n’est qu’un exemple de l’attente d’un groupe local. Et le vôtre ? Quel est votre choix là où vous vivez ?
Alors, on peut construire et on ne se contente pas de dire « sécurité, bonne gouvernance, etc. » Ce n’est qu’un exemple.
La question que l’on peut se poser : les partis politiques sont-ils prêts à en faire un répertoire, une analyse ?
L’attente des gens est grande, les budgets serrés : mieux vivre dans sa ville, dans son village. Est-ce en fermant les lieux où les habitants se croisent (magasins, banques, postes) ou les lieux de fête sont mis sous l’éteignoir.
Amitiés,
Georges
Le monde a bien changé…
Dans nos groupes, dans notre société civile, chacun fait ce qu’il peut pour en sortir …
Que cela soit en alimentation, changer nos habitudes lorsque par bonheur, on fait un jardin du mieux que nous pouvons pour avoir de beaux légumes bons et goûteux ou pour élever sa famille.
Faire confiance « parole d’Eglise » ou un réel besoin des populations. Oser l’éducation avec ses propres moyens, c’est une espérance que nous devons avoir.
Il y a des lois sensées nous protéger des contrôles, sensés nous garantir de la qualité dans nos assiettes et pourtant, que de dérives.
Il y a des recherches de mieux-être pour toujours aller plus loin dans la compréhension de l’être humain, de l’univers, de la société. Mais voilà, à force de chercher la petite bête, on passe souvent à côté de ce qui est l’essentiel.
L’être humain complexe dans ses différentes facettes de la vie est-il uniquement des statistiques ? Quelle en est la conséquence pour l’humanité et la société ?
Souvenons-nous : dioxine dans les farines destinées aux poulets, de la vache folle, des moutons et des œufs. Hier, c’était à nouveau la viande. Combien de folies dévastatrices pour le consommateur, financières pour certains. Le marché doit-il rester le seul maître ? En Belgique, en France et ailleurs, le mal est le même. La peur va-t-elle s’installer chez le consommateur et pour combien de temps ?
Souvenons-nous aussi qu’un gouvernement est tombé pour les mêmes événements. Cela n’a pas suffit : qui contrôle ces groupes de l’agroalimentaire ? Qui sont-ils ? Quels sont leurs intérêts sinon l’argent facilement gagné.
La régionalisation ne doit-elle pas nous faire vivre à l’heure de la mondialisation de l’Europe et des accords transnationaux styles Ceta ? Où va cette manne d’argent ?
De plus en plus de contrôles. Est-ce une solution pour rendre les individus responsables et conscients de leur capacité et de leur savoir-faire ? Le débat sur l’alimentation ne peut-il pas être étendu à tous les aspects de la vie ? Comment vivre aujourd’hui avec cette course à la possession de l’argent et de biens ? Comment accepter que des pays riches (Angleterre) aient autant d’enfants pauvres et mal soignés ? Comment croire que quatre italiens sur dix vont déjeuner et souper au restaurant ?
Une brave dame disait : « c’est pour consacrer plus de temps aux enfants ». Qui était-elle ?
Le temps est triste. Je vois des prairies et des vaches sur des kilomètres. Derrière elle, il y a des fermiers, des propriétaires scrupuleux et d’autres qui veulent rentabiliser leur capital. Fort bien. Cela doit-il être au détriment de la santé ?
Georges
Dis moi…
Le temps du servage est-il revenu ? Que de licenciements en ce début d’années, mais quelle méthode pour jeter le travailleur à la poubelle.
Cela me rappelle qu’il y a plusieurs années, Caterpillar avait envoyé une lettre aux épouses des travailleurs qu’elles fassent pression sur leur mari. « Tenez-vous dociles, acceptez, cela fera votre bonheur ». Le patronat se cache.
RTL : un coup de fil, oh pas chez vous mais votre smartphone, en voiture sur le chemin du travail. Vous êtes licencié. Quel choc, quelle peur, quel stress. Merci au patronat qui se cache ! Et ce n’est que plus tard : que vais-je faire maintenant ?
Dans une PME, il y a quelques années : il est 16h45. « Venez au bureau, je vous ai envoyé un recommandé avec le licenciement, votre femme l’aura reçu (main innocente : facteur), signez le papier avant de partir à 17 heures ». Refus de signer, antidaté, etc. Ne remuons pas les blessures. Même processus. On peut peut-être comprendre la difficulté de communication. C’est le même scénario, même pour des ….. même au courant des lois.
Certains se diront : « bah, avec mon métier, je retravaillerai. J’ai la capacité : la société en a-t-elle ? Bah, je ferai autre chose. Avec quel salaire ? Bah, on va monnayer avec le syndicat ». Ici aussi, les situations des gens ne sont pas les mêmes et les réactions non plus. Et de me dire : nos amis de Caterpillar, hautement qualifiés, hyper flexibles.
Ils retrouveront du boulot dans la région, ils ont les qualités et les formations. Combien sont-ils aujourd’hui sur le carreau ? Plus de la moitié. Mais j’applaudis, car des formations supplémentaires ont eu lieu.
Un ami voisin de 32 ans, son 3e licenciement de soudeur, il se trouve à faire des trous pour placer des rivets à la Sonaca. « J’ai eu de la chance, dit-il, mais maison à payer mais aujourd’hui, je gagne moins qu’auparavant et je n’ai toujours que des contrats de 6 mois ».
La réalité est aussi celle-là. Mais comment est-ce possible la façon cavalière utilisée pour briser l’être humain ?
Georges
Un petit voyage dans un monde décalé du néolibéralisme…
Le temps du servage est-il revenu ? Que de licenciements en ce début d’années, mais quelle méthode pour jeter le travailleur à la poubelle.
Cela me rappelle qu’il y a plusieurs années, Caterpillar avait envoyé une lettre aux épouses des travailleurs qu’elle fasse pression sur leur mari. « Tenez-vous dociles, acceptez, cela fera votre bonheur ». Le patronat se cache.
RTL : un coup de fil, oh pas chez vous mais votre smartphone, en voiture sur le chemin du travail. Vous êtes licencié. Quel choc, quelle peur, quel stress. Merci au patronat qui se cache ! Et ce n’est que plus tard : que vais-je faire maintenant ?
Dans une PME, il y a quelques années : il est 16h45. « Venez au bureau, je vous ai envoyé un recommandé avec le licenciement, votre femme l’aura reçu (main innocente : facteur), signez le papier avant de partir à 17 heures ». Refus de signer, antidaté, etc. Ne remuons pas les blessures. Même processus. On peut peut-être comprendre la difficulté de communication. C’est le même scénario, même pour des ….. même au courant des lois.
Certains se diront : « bah, avec mon métier, je retravaillerai. J’ai la capacité : la société en a-t-elle ? Bah, je ferai autre chose. Avec quel salaire ? Bah, on va monnayer avec le syndicat ». Ici aussi, les situations des gens ne sont pas les mêmes et les réactions non plus. Et de me dire : nos amis de Caterpillar, hautement qualifiés, hyper flexibles.
Ils retrouveront du boulot dans la région, ils ont les qualités et les formations. Combien sont-ils aujourd’hui sur le carreau ? Plus de la moitié. Mais j’applaudis, car des formations supplémentaires ont eu lieu.
Un ami voisin de 32 ans, son 3e licenciement de soudeur, il se trouve à faire des trous pour placer des rivets à la Sonaca. « J’ai eu de la chance, dit-il, mais maison à payer mais aujourd’hui, je gagne moins qu’auparavant et je n’ai toujours que des contrats de 6 mois ».
La réalité est aussi celle-là. Mais comment est-ce possible la façon cavalière utilisée pour briser l’être humain ?
Georges
Féminisme 2.0…
J’ai découvert un texte écrit en 1851 par la Britannique Harriet Taylor, mais publié au nom de son second époux John Stuart Mill, lui-même auteur de l’essai « L’asservissement des femmes ».
Voici un extrait :
« Nous pensons que loin d’être pratique, la division de l’humanité en deux castes, l’une née pour dominer l’autre, est ici, comme toujours dans de tels cas, source de bien des maux, de perversion, de démoralisation, à la fois du groupe privilégié et de ceux aux dépens desquels ils ont acquis leurs privilèges. Elle ne produit aucun des bienfaits que lui attribue la coutume et constitue un obstacle presque insurmontable à tout véritable progrès essentiel à la nature humaine ou à la condition sociale ».
Il a fallu qu’éclate l’affaire « Weinstein » pour réveiller les consciences abruties pour la domination capitaliste. La Présidente du Conseil des Femmes francophones de Belgique, Viviane Teitelbaum, parlementaire bruxelloise est favorable à la mise en place de quotas de femmes dans les organes décisionnels. Elle nomme cela « mesures correctrices temporaires afin de rééquilibrer le déséquilibre hommes/femmes actuellement observé. »
Elle a déclaré : « les femmes forment la majorité de la population, mais une minorité dans les lieux de décision ! On a calculé que si on n’adopte pas des mesures correctrices, il faudra encore attendre au moins 60 ans avant d’en arriver à une égalité hommes/femmes … »
Il faut faire attention, car il subsiste des stéréotypes solides, même après le scandale Weinstein et l’avènement des réactions du monde féministe (« hashtags Me Too » et « Balance Ton Porc »). Quels seront les effets observés tant que les mentalités et les pratiques dans les relations hommes-femmes n’évoluent pas … Viviane Teitelbaum estime qu’il existe encore effectivement trop de stéréotypes … entre autres dans les médias et le monde de l’éducation …
Vivane Teitelbaum réagit vigoureusement suite à cette fameuse déclaration d’intellectuelles françaises et belges (dont Anne Morelli) publiée dans le quotidien français « Le Monde ». Elle s’est dit « choquée car ces signataires sont issues de milieux privilégiés et de ce fait, se désolidarisent des femmes fragilisées qui ont beaucoup de difficultés à prendre la parole. Ce n’est pas pour les femmes qui peuvent dire non que nous nous battons, mais pour toutes les autres, qui sont la majorité ! »
Il s’agit donc, dans nos objectifs d’éducation permanente de se montrer vigilants à tous ces aspects !
Terminons ce point de survol de la réalité de la problématique du « genre » par cette réflexion d’une femme médecin et énergéticienne, Véronique Baudoux, auteure du livre « Divine sexualité » :
« Le problème de l’amour ne réside pas dans les différences qui existent effectivement entre les hommes et les femmes mais plutôt dans les projections que nous faisons quant aux besoins de l’autre ».
Le respect de l’autre est fondamental, il est la pierre angulaire d’une relation réussie. C’est l’agressivité et le non respect de l’autre qui mènent aux abus, aux gestes déplacés, aux paroles importunes. Cette situation est devenue intolérable pour le monde féminin.
Autre aspect fondamental de l’équilibre de notre vie quotidienne : quand primera l’aspect humain des problèmes sociétaux au-delà de tout autre aspect, notamment socio-économique…
Les contraintes imposées par le monde du travail sont insupportables ! Quand va-t-on se mobiliser contre cela ? On se mobilise un peu pour les retraités, pourquoi sacrifier les années de jeunesse où peut se construire un véritable équilibre dans ce qui est notre quotidien !
Il faut savoir ce qu’on veut : vivre vieux plus longtemps (mais dépendants) et en enrichissant toujours le monde médico-pharmaceutique … ou permettre de construire une autre société dont les valeurs seront aux antipodes des besoins socio-économiques … et laisser un temps suffisant aux hommes et aux femmes pour devenir parents !
Qu’en dites-vous ? A débattre en groupe …
Bernard
NB : quelques réflexions ont été puisées dans le magazine mensuel « L’appel » de mars 2018.
Agenda
SAMEDI 21 AVRIL : 9h15 : Bureaux régionaux à Namur
LUNDI 23 AVRIL : 18h30 : Groupe local Solidaroctiau
MARDI 24 AVRIL : 14h : Groupe local de Momignies
MERCREDI 2 MAI : 14h : Groupe local de Jumet
SAMEDI 5 MAI : 9h : Comité communautaire/AG des EP
LUNDI 7 MAI : 19h30 : Groupe local de Leernes
MARDI 8 MAI : 19h : Groupe local de Wanfercée-Baulet