Equipons-Nous ! Juin 2018
Edito …
Il y a des événements dans la vie qui peuvent constituer une profonde réflexion …
A peine remis du départ de notre cher ami Franco, voici que le printemps s’est assombri à la suite du décès de l’Abbé Max Vilain, équipier dans notre groupe de Gozée.
La célébration de ses funérailles m’a permis de pénétrer dans l’intimité spirituelle de Max : la simplicité, l’attention aux autres, la recherche de la paix. Que voilà le bel exemple de fidélité au message de celui à qui il a consacré sa vie : Jésus.
Non, je ne vais pas faire de discours à caractère religieux, car je respecte scrupuleusement le choix de nos consciences en matière de foi ou d’athéisme. Il s’agit ici plutôt d’une réflexion humaniste.
Dans son essai « Nature et spiritualité », Jean-Marie Pelt écrit ceci : « l’évangile relaie étonnamment l’attitude de sobriété et de distance à l’égard des biens matériels … Mais c’est une sobriété joyeuse car Jésus ne refus e pas un bon repas chez des amis : il apprécie les biens de la terre et il en fait un usage parcimonieux ».
Jésus serait-il l’un des précurseurs des opposants au système capitaliste ?
Et si la fidélité à ce beau message n’était qu’une conception de la spiritualité dirigée vers un humanisme qui nous détournerait de comportements guidés par notre « égo » surdimensionné. Finalement, la recherche du bonheur (que le capitalisme nous fait payer chèrement) ne pourrait-elle pas passer par la sobriété et la simplicité ?
Attention, il ne s’agit pas de se détourner d’un combat pour une meilleure répartition des richesses : beaucoup d’entre nous n’ont à peine de quoi survivre !
Tant que nous en avons la possibilité, chaque geste que nous ferons pour vivre plus sobrement pourrait aussi réduire l’impact désastreux sur la dégradation continue de notre environnement.
Il est urgent de prendre conscience que nos gaspillages sont une atteinte au droit à tout être humain de vivre dignement. Sachons réagir face à ces appels incessants à toujours consommer scandaleusement. Pensons à ce concept que l’industrie touristique a développé depuis les différentes crises humanitaires (guerre, catastrophes, cataclysmes …) afin d’entraîner les gens vers un voyeurisme de la misère ! N’ayons pas peur de nous dresser face à cette marchandisation du malheur. Croyants ou incroyants, reconnaissons que toute vie sur notre terre mérite le respect !
Merci à ceux qui, comme Max Vilain, sont les disciples de l’amour vrai, celui qui se partage !
Bernard
Echo des groupes …
Leernes : l’Equipe de Leernes poursuit sa réflexion sur son fonctionnement interne ainsi que sur les grands thèmes à aborder et la manière de s’y prendre.
Jumet : le groupe a évalué la rencontre du mois dernier autour du projet VADA(ville amie des aînés). Depuis certains reçoivent enfin le Charleroi magazine. On a aussi parlé de la pollution de l’eau qui a eut lieu dans une bonne partie de la ville de Charleroi suite aux inondations. Beaucoup ont déploré un manque de communication de la ville. Nous avons également parcouru ensemble le dossier Education permanente de 2017. Prochain rendez-vous le samedi 30 juin pour la journée festive estivale.
Braijocepoc : La journée jeu du mois dernier fut un grand succès ! Merci à tous les participants pour ce très bon moment. Les autres sous-groupes Braijocepoc se préparent pour continuer au mieux leurs activités pendant les deux mois de vacances qui arrivent maintenant à grands pas.
Solidaroctiau : Une pétition a été lancé pour obtenir un environnement sécurisé aux abords de la petite école maternelle du Roctiau. On y demande d’urgence un panneau zone 30 au début de la rue des Cartiers bien visible et des barrières de sécurité au passage piétons devant l’école. La journée du 16 septembre permettra de mettre l’accent sur la mobilisation du quartier sur ce dossier. Ce sera aussi l’occasion d’organiser une brocante dans la rue puisque nous demandons l’autorisation de fermer la rue aux voitures pendant toute la journée. Une auberge espagnole sera aussi organisé dans le jardin de l’école.
Gozée : pas de réunion au mois de mai . En juin ,nous organisons une balade des plantes sauvages comestibles à partir de chez Louis Quertinmont en direction de l’abbaye d’Aulne; le mercredi 20 juin prochain. Une partie du groupe de Jumet nous rejoindra…Nous aurons le plaisir de revoir Jenny à cette occasion puisque c’est elle qui nous servira de guide nature.
Momignies : Les équipiers de Momignies poursuivent leur travail sur le système économique et réfléchissent sur le modèle qu’ils souhaiteraient mettre en place s’ils étaient les seuls à décider. Une manière de se former politiquement à partir de ce que veulent les participants.
Wanfercée-Baulet : le 8 mai, débat de société, comportement, éducation des jeunes, cadre de vie dans la société, communication, apprentissage scolaire. Regard sur les déchets, hypermarchés, obsolescent programmée, le net et les dérives (article lu dans un magazine tv, Télépro). Mardi 5 juin : soirée élargie « la terre et l’eau » avec Jean Sprumont : 50 ans de vie dans le Tiers Monde à 19 heures.
Consommation : hypermarchés, grandes surfaces, est-ce la fin ?
Etre de plus en plus gourmand, toujours plus grand, de plus en plus de nouvelles surfaces, des franchisés … Où s’arrêtera cette course alors que les bourses ne sont pas extensibles ?
Que la précarité grandit et que de nouvelles mesures s’annoncent y compris la remise au travail des malades avec sanction à la clé si nous ne montrons pas de la bonne volonté !
Mestdagh, Carrefour des menaces de licenciements. Des pressions sur les travail-leurs le dimanche au boulot, fini d’attendre le client à la caisse, il faudra vous activer « comme chez Aldi ». Quelles nouvelles pressions mettra-t-on sur les producteurs ?
Le gigantisme tue. Ne prenons que Mestdagh, entreprise familiale qui, il y a quelques années a absorbé, fusionné, a été mangé est aujourd’hui sur la sellette. 450 licenciements : changez vos habitudes. Et le 1er ministre ajoute une couche : elle devra assumer ses responsabilités sociales. Job, job, job bien sûr, à n’importe quel prix pour les travailleurs et leur famille. Comment encore vivre et avoir des relations humaines hormis via le smartphone ?
Les jeunes le veulent, dit-on et les quadragénaires le demandent-ils ou doivent-ils subir ? Ne parlons pas des sexagénaires qui eux, comptent les coups. La fuite des acquis obtenus pour mieux vivre et assumer l’éducation, la culture, les loisirs, la convivialité du vivre ensemble.
Faut-il tout accepter aujourd’hui ? Du caddie intelligent, des courses téléchargées, des amazones qui vous approvisionnent la nuit dans le coffre de votre voiture, etc. Consommateur, n’est-il pas temps de vous ressaisir ? Combien d’emplois mettez-vous en danger : conditions de travail précaires, qualité de vie en danger, qualité des produits, qualité de communication entre les personnes.
Derrière le mot « je n’ai pas le temps » se cache des réalités de vie dans le travail et dans la société : une journée = 24 heures ne l’oublions pas. Et le stress nuit gravement à la santé car il détruit notre rythme biologique, prouvé médicalement. Faudra-t-il accepter un jour que les enfants et les bébés travaillent aussi le dimanche en allant à la crèche ou à l’école ? Aurons-nous encore le temps de méditer, de nous réunir en mouvement, entre amis ? Aurons-nous encore le droit d’exister et de penser : la robotisation en 2030.
Le temps est venu de nous rebeller, de mettre le bordel, ce n’est pas de révolution armée que l’on parle mais bien de se réunir et réfléchir et comprendre ce que l’on est en train de faire subir aux populations entières. Comprendre les enjeux de notre société. Un homme averti en vaut deux.
Amitiés,
Georges
Licencié = chômage = précarité, absence de repères …
Il est facile de dire aux entreprises « assumez votre responsabilité sociale » lors d’annonce de licenciements Mestdagh, nous dit le 1er Ministre.
Et lui, assume-t-il ses politiques concernant le chômage, les jobs pourris, etc. ? Détricoter le système social : ils sont très forts. Non les amis, le compte n’est pas si bon que cela concernant les chômeurs.
A grand renfort de pubs : job, job, job, l’Onem nous dit : le nombre de chômeurs complets indemnisés a baissé de 8,5% en 2017, soit 45.000 personnes. Il en reste quand même encore 487.291 en tout.
Une moyenne : cela signifie que l’on prend le nombre d’allocations payées pendant toute l’année et que l’on divise le résultat par 312 (le nombre de jours indemnisés). Un chômeur complet est celui qui ne travaille pas à temps partiel, qui n’est pas activé par une mesure de formation, de reprise d’études ou d’emploi subsidié par une allocation payée par l’Onem.
Où est notre réalité aujourd’hui ? On apprend que l’emploi salarié net (création d’emplois, perte d’emplois a augmenté de 2014 à 2017) de 129.000 unités. Et dans le même temps, le travail intérimaire a augmenté de 120.000 unités.
En 2014, il y avait 3.805.000 salariés et 562.815 intérimaires. En 2017, 3.934.000 salariés et 683.346 intérimaires. Des exemples : Elodie travaille en 2017 mais à temps partiel via plusieurs missions d’intérim. Elle touche donc 6 mois de chômage à temps plein. Elle n’entre plus dans le calcul chômage complet indemnisé.
David : au chômage depuis deux ans malgré un baccalauréat, il veut compléter sa formation : un master à temps plein, il obtient une dispense du Forem et commence ses études en septembre. Il ne touchera que 8 mois de chômage à condition de réussir chaque année, il ne sera plus comptabilisé comme chômeur complet indemnisé.
Fatima : travaille toute l’année à mi-temps et touche un complément chômage. Elle n’est pas comptée dans le calcul de chômeur complet indemnisé.
Kevin : sanctionné en 2017 pour une période de 4 mois. Pendant 8 mois, il touche du chômage à temps plein donc Kevin compte comme chômeur complet indemnisé pour 2/3 de l’année.
En 2017, le nombre de travailleurs bénéficiant d’une AGG (allocation de garantie de revenu) était de 37.844 (76,5% de femmes). Une autre remarque : les stages de transition (mise à l’emploi des jeunes) ont aussi fait disparaître ceux-ci du calcul. (1.117 jeunes en 2017). Les chômeurs exerçant en ALE ne sont plus repris, soit 1.722 en 2017.
De même, les chômeurs disposant d’une dispense pour formation ne sont plus pris en compte pour le calcul chômeurs complets indemnisés. Ils étaient en 2017 35.896 personnes. Un petit éclairage : combien sont-ils ces jeunes en stage d’insertion professionnelle? En 2007 : 39.100. En 2017 : 49.623 et en 2011 : 37.270 jeunes accédaient aux allocations d’insertion pour seulement 16.541 en 2017 (une diminution de plus de 55%).
Dès lors, peut-on dire que la baisse du chômage complet indemnisé est la non indemnisation ? Les jeunes en insertion (en stage) 9 mois auparavant à 12 mois prolongés en cas d’évaluation négative (recherche d’emploi). L’accès au droit a été restreint. La demande d’allocation est passée de 30 ans à 25 ans aujourd’hui et une condition de diplôme pour les moins de 21 ans.
Nous devons savoir aussi que les chômeurs sanctionnés temporairement : soit plus ou moins 50.000 sanctions d’environ 13 semaines. Le contrôle des efforts de recherche d’emploi de 2005 à 2017 a exclu définitivement 50.050 personnes. On peut dire qu’avec la limitation à 3 ans des allocations d’insertion 43.382 personnes virées, soit un total de 93.432 personnes.
Etre chômeur, pas si simple que cela. Comment avoir une continuité dans la vie de tous les jours (assumer sa responsabilité de parents) ? Comment avoir des projets quand la donne change au point de vue politique ? Comment avoir encore des repères ? Que sont devenus ces exclus du système ? Sont-ils au CPAS (rien n’est moins sûr). Alors, que font-ils pour vivre ?
Si l’économie « va mieux », pourquoi encore ces fermetures d’entreprises ? Créer des magasins, c’est simple, encore faut-il les faire vivre.
Ce texte est tiré du journal Ensemble d’avril 2018 « Chômeurs, le compte n’est pas si bon » (Yves Mertens)
Georges
Comm’une alternative …
Bonjour les futurs électeurs ! Notre commune a besoin de nous et nous avons besoin d’elle pour un mieux vivre pour tous.
Dans un article précédent, nous vous avions parlé de gouvernance, épanouissement social, d’environnement et cadre de vie, de mobilité, d’emploi, de l’utilisation du temps, de la santé, du logement, de l’engagement civique. Est-ce assez pour se sentir détendu dans notre commune ?
Parlons équilibres sociaux. D’où l’importance de connaître la démographie : qui y habite selon les âges, importance de l’immigration, des services aux personnes, de préserver les activités et les commerces en milieu
rural, le maintien des seniors et des handicaps à domicile.
Parlons équilibre économique : développement de l’activité, de l’innovation, du développement social. Comment la répartition de la richesse se fait-elle ? Et surtout, échanges de services, consommation responsable, commerce équitable.
Parlons équité, justice : tout le monde bénéficie-t-il d’un traitement juste et équitable dans la justice ? Equité sociale : droits sociaux, sécurité sociale, aide sociale et avantages sociaux. Quel CPAS chez nous à l’écoute des lois à la lettre?
Parlons égalité des chances : notre commune est-elle ouverte au monde, tolérante, respectueuse
des personnes. Comment sont considérés les enfants ? Egalité des chances ou pas ?
Parlons bien-être : avons-nous le sentiment d’être bien intégré, être reconnu en sécurité ? Une sensation de paix, de tranquillité et de confiance dans l’avenir.
Parlons spiritualité, philosophie, religions : on peut dire que la liberté est l’apanage des citoyens. Comment se vit-elle dans la réalité ?
Comment a-t-elle évolué ?
Bonne route,
Georges
Billet d’humeur …
On se régale, ou pas, du spectacle que vont nous proposer les participants au « Mundial 2018 » en Russie. Il ne s’agit pas de dire si l’on aime ou non le football, en tant que discipline sportive.
Je pense que l’apprentissage de ce sport, au sein d’une bonne équipe dans laquelle l’esprit reste orienté surtout sur le collectif et sur le fair-play, peut se révéler un réel atout pour développer harmonieusement le corps.
Hélas, il faut avouer que cet état d’esprit tend à s’amenuiser et même à disparaître tant est grande la tentation de la carrière vers le star-système, malheureusement on assiste parfois même à des manifestations
Qui plus est, on s’accommode d’un spectacle « offert » dans le cadre de certains régimes politiques assez douteux. On sait pourtant qu’en Russie, autour des pelouses on entend beaucoup de propos racistes, homophobes, …
C’est une honte pour le football ! Par ailleurs, on sait que certaines équipes nationales font preuve d’un esprit nationaliste qui n’hésite pas à provoquer des attitudes haineuses.
Autre aspect, et non des moindres : la surenchère des droits que paient nos organismes de diffusion télévisuelle, (y compris les télédistributeurs) amène à consacrer moins de moyens pour d’autres programmes de qualité éducative.
Vu ce contexte, il n’est pas impossible que dans un avenir assez proche, les amateurs de ces sports médiatiques devrons s’abonner à des chaines payantes…
Et puis, au final, on viendra se plaindre que les tarifs des opérateurs deviendront exagérés.
Rassurez-vous, je souhaite bien du plaisir à tous ceux d’entrevous qui aiment ce spectacle et qui supportent nos « Diables Rouges ».
Reste une question qu’il faut oser aborder quant au « sponsoring » de l’équipe belge … Savez-vous que des ouvriers de la multinationales « Inbev » (Jupiler pour nous) sont rétribués à un salaire inférieur au seuil de pauvreté !
Sur ce, bonne santé !
Bernard
Le terrorisme et nous …
Actualité oblige : le terrorisme nous revient tel un boomerang … Cependant, il faudrait peut-être se poser les bonnes questions.
J’en ai un peu assez d’entendre que, selon les « experts », la radicalisation s’opère en prison. Oui, sans doute et je ne me permets pas de contester cet avis, je voudrais simplement faire quelques réflexions.
Quand nos politiciens réduisent l’analyse à l’effet produit par l’horreur d’un acte criminel tel que celui vécu à Liège, c’est vraiment le genre de réaction qui vise surtout à « rassurer » le bon peuple et à ne pas remettre en cause les phénomènes liés à l’accroissement de la pauvreté dans notre riche pays !
Qui s’est soucié de comprendre à quoi allait amener cette politique de regroupement familial autorisée dans les années 1990 chez les immigrés économiques venus en masse dans nos centres urbains lors des grands travaux d’infrastructure des années 60–80 (axes routiers, métro, aménagements portuaires).
Il faut avouer que la plupart des quartiers « envahis » par ces personnes étaient voués à l’abandon par des propriétaires qui s’étaient copieusement enrichis durant les années de prospérité … et les immeubles ainsi cédés pour quelques bouchées de pain ont attiré les familles d’immigrés.
Cela a été constaté aussi bien dans certaines communes bruxelloises qu’anversoises ou carolos … Pendant ce temps-là, les rentiers qu’étaient devenus les propriétaires sont partis au soleil et ont planqué leurs fortunes dans les paradis fiscaux.
Par ailleurs, depuis des dizaines d’années, on n’arrête pas de se plaindre du peu de moyens alloués au secteur socio-éducatif et on laisse grandir des jeunes dans un monde où les perspectives se rétrécissent sans cesse … et puis on s’étonne de la facilité avec laquelle on véhicule des messages de haine …
L’échevine Sarah Turine à Molenbeek, islamologue et écologiste nous dit : « En fait, on a l’impression que c’est la société dans son ensemble qui s’est radicalisée. Comme si chacun se persuadait que seul son point de vue est le bon et avait plus de mal à entendre celui d’un autre … Il y a un ras-le-bol, une colère, des craintes, qui sont légitimes, mais qui rendent les gens peu disposés à faire de concessions. C’est inquiétant et face à cela, la première mission des responsables politiques est d’éviter d’alimenter cette division de la société.
Nous devons d’abord être des faiseurs de ponts, une société est faite de divergences … Il faut créer des ponts entre elles, sous peine de ne plus faire société. On peut être d’accord ou pas sur la présence des militaires en rue … mais j’ai le sentiment que de toute manière cela n’empêche pas les actes isolés par nature imprévisibles.
Je ne pense pas que la vue des armes est un bon signal pour éviter la haine et la violence, voyez ce qui se passe aux Etats-Unis.
Plutôt que de se référer aux gros titres de la presse « populaire », qui se réjouit de distiller la peur chez ses lecteurs (et hélas cela fonctionne assez bien), sachons faire preuve de discernement et arrêtons l’emballement qui conduit sûrement à un pouvoir de plus en plus autoritaire et à une restriction de nos libertés.
Au sein de notre mouvement, il importe de rester vigilants et surtout, comme le dit si bien Sarah Turine, d’être des faiseurs de ponts.
Il faut que le monde associatif soit toujours précurseur car le monde poli-tique subit plus qu’il ne gère !
Relisez le numéro 179 de Contrastes et parlez-en en groupe !
Bernard
Agenda
Mardi 19 juin : à 14h : groupe local de Momignies
Mercredi 20 juin : à 14h : groupe local de Gozée
Lundi 3 septembre : à 19h : groupe local de Leernes
Samedi 16 septembre : dès 8h : Brocante du groupe Solidaroctiau