En amont de notre emmé­­­­­­­­­­­na­­­­­­­­­­­ge­­­­­­­­­­­ment sur l’en­­­­­­­­­­­tité de Marche-en-Famenne, nous avons rencon­­­­­­­­­­­tré les acteurs de 1ère ligne de la région : AMO, mutuel, Plan de cohé­­­­­­­­­­­sion social, Vie Fémi­­­­­­­­­­­nine... Leurs obser­­­­­­­­­­­va­­­­­­­­­­­tions ont été un épui­­­­­­­­­­­se­­­­­­­­­­­ment émotion­­­­­­­­­­­nel géné­­­­­­­­­­­ral des personnes éloi­­­­­­­­­­­gnées écono­­­­­­­­­­­mique­­­­­­­­­­­ment et un senti­­­­­­­­­­­ment d’im­­­­­­­­­­­puis­­­­­­­­­­­sance face à un mal être dû aux crises succes­­­­­­­­­­­sives : prix de l’éner­­­­­­­­­­­gie, senti­­­­­­­­­­­ment d’in­­­­­­­­­­­sé­­­­­­­­­­­cu­­­­­­­­­­­rité : guerre en Ukraine/Russie, repli sur soi dû aux confi­­­­­­­­­­­ne­­­­­­­­­­­ments, crise de l’im­­­­­­­­­­­mo­­­­­­­­­­­bi­­­­­­­­­­­lier, inon­­­­­­­­­­­da­­­­­­­­­­­tion…

 
Notre première accroche s’est voulue dès lors fédé­­­­­­­­­­­ra­­­­­­­­­­­teur, ludique et utile.  
Elle remporta un vif succès : un atelier cuisine sans élec­­­­­­­­­­­tri­­­­­­­­­­­cité. Ouvrant les échanges sur chaque histoire de vie et des préoc­­­­­­­­­­­cu­­­­­­­­­­­pa­­­­­­­­­­­tions sociales qui en découles. Le groupe EcoPop’ (Ecolo­­­­­­­­­­­gie Popu­­­­­­­­­­­laire) était né. Le groupe s’est très vite orga­­­­­­­­­­­nisé pour des rendez-vous au sujet varié qui répon­­­­­­­­­­­dait à leur ques­­­­­­­­­­­tion­­­­­­­­­­­ne­­­­­­­­­­­ment : comment se faire plai­­­­­­­­­­­sir tout en faisant des écono­­­­­­­­­­­mies, comment parta­­­­­­­­­­­ger des savoirs, comment ouvrir le groupe à plus de monde, comment agir concrè­­­­­­­­­­­te­­­­­­­­­­­ment sur le terri­­­­­­­­­­­toire ? 

Ces réunion EcoPop’ ont toujours eut un médiant comme faire de la soupe à dépo­­­­­­­­­­­ser au frigo soli­­­­­­­­­­­daire, un Ciné-Débat pour s’ins­­­­­­­­­­­pi­­­­­­­­­­­rer de piste d’ac­­­­­­­­­­­tion et de réflexion, de l’ar­­­­­­­­­­­pen­­­­­­­­­­­tage, une balade décou­­­­­­­­­­­verte des plantes comes­­­­­­­­­­­tibles pour une réflexion commune sur l’ac­­­­­­­­­­­cès à une alimen­­­­­­­­­­­ta­­­­­­­­­­­tion locale et saine pour tous. Ces nombreuses nervures donnent corps à leurs réflexions et à leurs besoins de faire ensemble et de penser collec­­­­­­­­­­­ti­­­­­­­­­­­ve­­­­­­­­­­­ment.